# La Liste du Mercredi
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Liste du Mercredi n°593
le 06/11/19 par l'idiot du vill@ge

” Déconfiture aigre-douce du matin. Madeleine éplorée au milieu de la cuisine,
des larmes pur beurre perlant de ses yeux amandes effilées. “

Vladimir Støck


” Sur Instagram les jeunes filles en fleurs pleurent comme des madeleines.


Marcel Proust




 

Madeleine(s) ( à la recherche du souvenir perdu )

 

 

[...]

Il en est ainsi de notre passé. C’est peine perdue que nous cherchions à l’évoquer, tous les efforts de notre intelligence sont inutiles. Il est caché hors de son domaine et de sa portée, en quelque objet matériel (en la sensation que nous donnerait cet objet matériel) que nous ne soupçonnons pas. Cet objet, il dépend du hasard que nous le rencontrions avant de mourir, ou que nous ne le rencontrions pas.

Il y avait déjà bien des années que, de Combray, tout ce qui n’était pas le théâtre et le drame de mon coucher n’existait plus pour moi, quand un jour d’hiver, comme je rentrais à la maison, ma mère, voyant que j’avais froid, me proposa de me faire prendre, contre mon habitude, un peu de thé. Je refusai d’abord et, je ne sais pourquoi, je me ravisai. Elle envoya chercher un de ces gâteaux courts et dodus appelés Petites Madeleines qui semblaient avoir été moulés dans la valve rainurée d’une coquille de Saint-Jacques. Et bientôt, machinalement, accablé par la morne journée et la perspective d’un triste lendemain, je portai à mes lèvres une cuillerée du thé où j’avais laissé s’amollir un morceau de madeleine. Mais à l’instant même où la gorgée mêlée des miettes du gâteau toucha mon palais, je tressaillis, attentif à ce qui se passait d’extraordinaire en moi. Un plaisir délicieux m’avait envahi, isolé, sans la notion de sa cause. Il m’avait aussitôt rendu les vicissitudes de la vie indifférentes, ses désastres inoffensifs, sa brièveté illusoire, de la même façon qu’opère l’amour, en me remplissant d’une essence précieuse : ou plutôt cette essence n’était pas en moi, elle était moi. J’avais cessé de me sentir médiocre, contingent, mortel. D’où avait pu me venir cette puissante joie ? Je sentais qu’elle était liée au goût du thé et du gâteau, mais qu’elle le dépassait infiniment, ne devait pas être de même nature. D’où venait-elle ? Que signifiait-elle ? Où l’appréhender ? Je bois une seconde gorgée où je ne trouve rien de plus que dans la première, une troisième qui m’apporte un peu moins que la seconde. Il est temps que je m’arrête, la vertu du breuvage semble diminuer. Il est clair que la vérité que je cherche n’est pas en lui, mais en moi. Il l’y a éveillée, mais ne la connaît pas, et ne peut que répéter indéfiniment, avec de moins en moins de force, ce même témoignage que je ne sais pas interpréter et que je veux au moins pouvoir lui redemander et retrouver intact à ma disposition, tout à l’heure, pour un éclaircissement décisif. Je pose la tasse et me tourne vers mon esprit. C’est à lui de trouver la vérité. Mais comment ? Grave incertitude, toutes les fois que l’esprit se sent dépassé par lui-même ; quand lui, le chercheur, est tout ensemble le pays obscur où il doit chercher et où tout son bagage ne lui sera de rien. Chercher ? pas seulement : créer. Il est en face de quelque chose qui n’est pas encore et que seul il peut réaliser, puis faire entrer dans sa lumière.


Et je recommence à me demander quel pouvait être cet état inconnu, qui n’apportait aucune preuve logique mais l’évidence de sa félicité, de sa réalité devant laquelle les autres s’évanouissaient. Je veux essayer de le faire réapparaître. Je rétrograde par la pensée au moment où je pris la première cuillerée de thé. Je retrouve le même état, sans une clarté nouvelle. Je demande à mon esprit un effort de plus, de ramener encore une fois la sensation qui s’enfuit. Et, pour que rien ne brise l’élan dont il va tâcher de la ressaisir, j’écarte tout obstacle, toute idée étrangère, j’abrite mes oreilles et mon attention contre les bruits de la chambre voisine. Mais sentant mon esprit qui se fatigue sans réussir, je le force au contraire à prendre cette distraction que je lui refusais, à penser à autre chose, à se refaire avant une tentative suprême. Puis une deuxième fois, je fais le vide devant lui, je remets en face de lui la saveur encore récente de cette première gorgée et je sens tressaillir en moi quelque chose qui se déplace, voudrait s’élever, quelque chose qu’on aurait désancré, à une grande profondeur ; je ne sais ce que c’est, mais cela monte lentement ; j’éprouve la résistance et j’entends la rumeur des distances traversées.

Certes, ce qui palpite ainsi au fond de moi, ce doit être l’image, le souvenir visuel, qui, lié à cette saveur, tente de la suivre jusqu’à moi. Mais il se débat trop loin, trop confusément ; à peine si je perçois le reflet neutre où se confond l’insaisissable tourbillon des couleurs remuées ; mais je ne puis distinguer la forme, lui demander, comme au seul interprète possible, de me traduire le témoignage de sa contemporaine, de son inséparable compagne, la saveur, lui demander de m’apprendre de quelle circonstance particulière, de quelle époque du passé il s’agit.

Arrivera-t-il jusqu’à la surface de ma claire conscience, ce souvenir, l’instant ancien que l’attraction d’un instant identique est venue de si loin solliciter, émouvoir, soulever tout au fond de moi ? Je ne sais. Maintenant je ne sens plus rien, il est arrêté, redescendu peut-être ; qui sait s’il remontera jamais de sa nuit ? Dix fois il me faut recommencer, me pencher vers lui. Et chaque fois la lâcheté qui nous détourne de toute tâche difficile, de toute œuvre importante, m’a conseillé de laisser cela, de boire mon thé en pensant simplement à mes ennuis d’aujourd’hui, à mes désirs de demain qui se laissent remâcher sans peine.

Et tout d’un coup le souvenir m’est apparu. Ce goût, c’était celui du petit morceau de madeleine que le dimanche matin à Combray (parce que ce jour-là je ne sortais pas avant l’heure de la messe), quand j’allais lui dire bonjour dans sa chambre, ma tante Léonie m’offrait après l’avoir trempé dans son infusion de thé ou de tilleul. La vue de la petite madeleine ne m’avait rien rappelé avant que je n’y eusse goûté ; peut-être parce que, en ayant souvent aperçu depuis, sans en manger, sur les tablettes des pâtissiers, leur image avait quitté ces jours de Combray pour se lier à d’autres plus récents ; peut-être parce que, de ces souvenirs abandonnés si longtemps hors de la mémoire, rien ne survivait, tout s’était désagrégé ; les formes — et celle aussi du petit coquillage de pâtisserie, si grassement sensuel sous son plissage sévère et dévot — s’étaient abolies, ou, ensommeillées, avaient perdu la force d’expansion qui leur eût permis de rejoindre la conscience. Mais, quand d’un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses, seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l’odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur gouttelette presque impalpable, l’édifice immense du souvenir.

Et dès que j’eus reconnu le goût du morceau de madeleine trempé dans le tilleul que me donnait ma tante (quoique je ne susse pas encore et dusse remettre à bien plus tard de découvrir pourquoi ce souvenir me rendait si heureux), aussitôt la vieille maison grise sur la rue, où était sa chambre, vint comme un décor de théâtre s’appliquer au petit pavillon donnant sur le jardin, qu’on avait construit pour mes parents sur ses derrières (ce pan tronqué que seul j’avais revu jusque-là) ; et avec la maison, la ville, la Place où on m’envoyait avant déjeuner, les rues où j’allais faire des courses depuis le matin jusqu’au soir et par tous les temps, les chemins qu’on prenait si le temps était beau. Et comme dans ce jeu où les Japonais s’amusent à tremper dans un bol de porcelaine rempli d’eau de petits morceaux de papier jusque-là indistincts qui, à peine y sont-ils plongés s’étirent, se contournent, se colorent, se différencient, deviennent des fleurs, des maisons, des personnages consistants et reconnaissables, de même maintenant toutes les fleurs de notre jardin et celles du parc de M. Swann, et les nymphéas de la Vivonne, et les bonnes gens du village et leurs petits logis et l’église et tout Combray et ses environs, tout cela qui prend forme et solidité, est sorti, ville et jardins, de ma tasse de thé.

[...]


in À la recherche du temps perdu, in Du côté de chez Swann,
Marcel Proust

 

***

 

 

Madeleines à l'ancienne

Ingrédients (pour 30 pièces)

225 g de farine
175 g de sucre
100 g de beurre
4 œufs
1 citron
1 pincée de sel ou sel fin
1 sachet de levure chimique
 

Matériel

Fouet
Four
Moule à madeleines
Pinceau
Poche à douille
Râpe

Préparation

- Dans une terrine, battre ensemble les oeufs entiers et le sucre jusqu'à ce que ce dernier soit entièrement fondu.
- Ajouter la farine, le sel et la levure tamisée ensemble, le zeste râpé du citron bien lavé puis le beurre fondu.
- Beurrer avec un pinceau les plaques de moules à madeleine, saupoudrer les de farine et secouer les pour faire tomber l'excédent.
- A l'aide d'une poche à douille ou d'une cuillère à café, remplir chaque moule au 3/4.
- Faire reposer la pâte à madeleine 20 minutes au frigo.
- Pendant ce temps, faire préchauffer le four à 210°C (thermostat 7).
- Une fois le four chaud, enfourner 210°C jusqu'à ce que la bosse soit bien formée puis baisser le four à 190°C pour terminer la cuisson. La cuisson dure environ 8 à 10 minutes selon les fours.

Suggestion de dégustation

- Inviter vos amis, et/ou l'idiot du village, à déguster vos madeleines accompagnées d'un bon thé, et évoquer ainsi les souvenirs revenus en surface.

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NB : (espaces=nospam) : Si vous répondez par mail aux annonces, n'oubliez pas de retirer les espaces de chaque côté de l' @.

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# BOUTEILLE A LA MER
Par eloise.caverot @ gmail.com (espaces=nospam) [Larajasse]

 

 

Bonjour,

Nous sommes un petit groupe de personnes entendantes apprenant la LSF.

Passionnées par cette langue et la culture sourde, nous ne pouvons malheureusement pas nous rendre aux cafés Signes de Lyon et St Etienne.

Afin de continuer à pratiquer nous organiserons donc des soirées ponctuelles vers chez nous (apéro signe, soirées jeux).

Nous serions enchantées de partager ces moments avec des personnes sourdes et créer du lien avec certaines qui résident dans notre secteur.

N’hésitez pas à nous contacter par mail ou à partager cette annonce.

MERCI !


# RECHERCHE ...
Par afifa.zenati @ orange.fr (espaces=nospam) [Lyon]

Bonjour,

Je cherche à acheter un appartement (Canut/T2 avec ascenseur) secteur rue de l'Alma, rue Ste Clotilde, etc. / pentes de la croix-Rousse côté Saône.

# VENDS
Par acroux @ outlook.fr (espaces=nospam) [Lyon]



 


Bonjour à tous,

Je vends des vetements fille en tres bon état

lot 8 ans (10 euros)
Pull maille Okaidi bleu et violet
Haut tigre corail
Haut Z Bleu canard motif eclair
3 jeans compagnie des petits, H&M,DPAM

lot 10 ans (7 euros)
1 Sous pull coton kiabi bleu canard
2 hauts coton neuf okaidi 1 bleu turquoise un gris
2 hauts kiabi coton (bleu marine et motifs)
1 haut violet NKY coton uni
RDV LYON 5 point du jour
Merci !

Anouk


# LOCATION
Par nadia.larbiouene @ yahoo.com (espaces=nospam) [Lyon]

Bonjour la liste,

Ma Cie de théâtre cherche un co-locataire : espace pour travail administratif, réunions ... 40 m2 à partager. Nous sommes basés dans le vieux Lyon, quartier St Georges. Le local est situé en Rez de chassée dans une cour type traboule.

Photos et / ou visite sur demande et RDV. 180€ / Mois.

A bientôt donc

# VENDS
Par julien.privolt @ gmail.com (espaces=nospam) [Lyon]



 


 

Je vends ce canapé convertible
à celle(s) et/ou ceux qui m'en proposeront le "meilleur" prix à partir de 150 euros.

Ses caractéristiques :
- 4 places / adultes + 1 place (allongée ; davantage assises) sur méridienne
- largeur : 2,70m (largeur de la méridienne comprise)
- longueur de la méridienne : 2m environ.

A venir chercher sur place (Lyon 8)

# COLOCATION
Par audrey.bernard14 @ yahoo.fr (espaces=nospam) [Lyon]

Bonjour à toutes et tous,

Je recherche une chouette colocation pour m'installer dans la durée à partir de mi décembre/début Janvier
Le coût : 470 € / mois max (CC) avec possibilité APL.Pas de sous location

Je suis une femme salariée de 34 ans.Je recherche un endroit où convivialité et partage ne sont pas que des mots. Pour moi la colocation est un vrai choix. Prête à m'installer et m'investir dans la durée. Mes centres d’intérêts :les arts, le théâtre,le yoga, le bricolage, la nature,les modes de vie alternatifs.
Quelques points importants :
Humains : Convivialité - partages - âges similaires -salariés - répartition des tâches.
Lieu de Vie : propre - proche nature ou d'un parc - terrasse ou balcon idéalement.
Proche TCL (Lyon 3ème / 7ème,Saint George, Monplaisir / Sans Souci, Presqu'île)
Je suis en recherche d'un lieu de vie calme, vert, respectueux de l'environnement. Important à préciser:animaux proscrits cause allergies.

vous pouvez me joindre au 06 41 85 60 43 pour s'organiser une rencontre.

Audrey

# LOCATION
Par perretorama @ gmail.com (espaces=nospam) [Lyon]



 


 

SOUS-LOCATION APPARTEMENT MEUBLÉ CROIX ROUSSE FÉVRIER 2020

 

Bonjour,

À l’occasion d’un voyage je sous-loue mon studio à La Croix-Rousse, proche gros caillou, pour la période entre le 23 janvier et le 3 mars 2020.

Appartement de 33m2, lumineux, internet, cuisine équipée, sdb avec douche.
Situé au 4e étage (pas d’ascenseur).

Loyer hebdomadaire 250€ TTC (eau, gaz, électricité, internet inclus). Préférence pour un séjour de 3 semaines minimum.

Contactez-moi par mail


# BOUTEILLE A LA MER
Par b.audry2 @ wanadoo.fr (espaces=nospam) [St Romain au mt.d'or]

Alors, il n'existe vraiment pas de prof. d'anglais (certifié-ou ée) pour s'atteler à quelques heures à Fontaines St Martin ?

Sous rémunération évidemment.

# VENDS
Par clepachtem @ yahoo.fr (espaces=nospam) [Lyon]



 


 

 

Lit bébé réalisé par un ébéniste
(presque entièrement chevillé),
a servi pour un enfant.

La hauteur du sommier est réglable sur 3 positions différentes.

50€

Merci et bonne journée !

Clémence


# VENDS
Par loukaby @ gmail.com (espaces=nospam) [Lyon]




 


 

Bonjour à tous,

Je vends une paire de Kickers tout cuir Taille 39 (elles ont bien servi mais sont en bon état) et un sac de créateur en cuir bleu : le tout pour 25 € !

Chaussures garçon basket noire adidas d'origine, taille 37 en bon état / 10 €

Bureau IKEA , deux plateaux réglables en hauteur. Parfait état. Les dimensions sont :
Hauteur 145cm
Largeur 120cm
Profondeur 90cm

Retrait sur place . Prix 40 €.

Autres photos sur demande

N'hésitez pas à me contacter


Lou


# LOCATION
Par baudemont.claire @ sfr.fr (espaces=nospam) [Lyon]

 


Sous location
d'une belle pièce d'environ 12m2 au calme pour une activité artistique, artisanale ou thérapeutique.

A partir du 15 novembre prochain dans un 2 pièces. J'occupe la deuxième pièce pour mon cabinet de Gestalt thérapie (psychothérapie).

Croix rousse, rue de Cuire appartement refait
à neuf, 5mns du métro, sur cour, lumineux.

350€/mois TC.


# RELAIS D'INFORMATION / AGENDA
 
Par solmusezik @ gmail.com (espaces=nospam) [Villeurbanne]




Bonjour Listienne et Listien

Je vous présente un super livre pour enfants, ludique et fun " COMPTINES ET CHANTS DU BONHEUR" ( en vente sur Amazon) qui est mon outil pédagogique depuis plusieurs mois et dont je suis l'auteur.

Une super idée cadeau,( Noël, anniversaire ou autre.) J'interviens aussi avec des groupes d'enfants en école Montessori , écoles, associations etc si intéressé m'écrire et je vous enverrais mes planches d'informations et tarifaires.

À bientôt....
Sonia


Par ateliernabis @ gmail.com (espaces=nospam) [Caluire]


Par lauraguitte @ yahoo.fr (espaces=nospam) [Lyon]



Exposition dans le cadre du "Mois Du Vin Naturel" à Lyon!

Cette exposition est la rencontre de trois artistes,
Silène Audibert (dessinatrice),
Laura Guitte (bijoutière)
et Le Rebtil (sculptrice) autour d'une passion commune : la vigne.

Elles présenteront chacune des pièces uniques spécialemen
t réalisées pour l'occasion, sur le thème de la Vigne:

- installations mobiles
- illustrations
- bijoux-sculptures

+ Leurs savoir-faire se rejoindront aussi dans 3 œuvres conçues ensemble.

Vernissage le jeudi 7 novembre à partir de 18h30.
Avec tirage de sérigraphies en direct et dégustation de vin par Jérémy Bally (Domaine du Bois de Chat, Juliénas, Beaujolais).

Exposition du vendredi 8 au dimanche 10 novembre
de 10h à 19h


Galerie Saint Michel (en face du bar Chromatique, anciennement 6ème Continent)
52 rue Saint Michel, 69007 Lyon

Pour découvrir l'univers des trois artistes:
Dessins, Silène Audibert: www.lesfolsdesilene.com
Installations, Le Rebtil: www.lerebtil.fr
Bijoux-sculptures, Laura Guitte: www.lauraguitte.com

Par communication @ niemecompagnie.fr (espaces=nospam) [Villeurbanne]



Festival INTERFERENCES,

Deux projections organisées au Théâtre Astrée - Université Lyon 1

Jeudi 7 novembre à 12h30
"Climatic Species"
de Christiane Geoffroy

À l’heure de l’emballement des dérèglements climatiques, Climatic Species interroge l’évolution du vivant : animal, humain et végétal. Pour tenter de projeter un avenir avec les non-humains, différents points de vue s’entremêlent : ceux d’une ourse, d’un aulne, d’un cèdre, de scientifiques, et d’un céphalopode...

Projection en présence de la réalisatrice

Jeudi 7 novembre à 18h18
"Carnets 88" de Sylvain Yonnet

En 2016, le réalisateur reprend contact avec son ancien ami Daniel, célèbre youtubeur nationaliste. Le souvenir de leur amitié lui permet de s’intégrer pendant un an, caméra à la main, dans des soirées, des dîners et des conférences habituellement interdits aux journalistes et personnes extérieures. Mêlant observation et entretiens, le documentaire explore les aspects politiques du nationalisme et le quotidien intime du nationaliste, et interroge sur la radicalisation de jeunes urbains, diplômés et cultivés.

A l'issue de la projection
une rencontre animée par Jean-Marc Grefferat aura lieu avec le réalisateur Sylvain Yonnet et Yvan Bruneau, Maître de conférences en Sciences Politiques à l'Université Lumière Lyon 2

Entrée libre sans réservation

Théâtre Astrée - Université Lyon 1
Campus Lyon Tech - la Doua
6avenue Gaston Berger
6910à Villeurbanne,

Par communication @ clochardscelestes.com (espaces=nospam) [Lyon]



Barbe bleue ou le quotidien d’un monstre


De Louison Alix et Lauriane Mitchell
Compagnie des Passantes

Du 30 octobre au 10 novembre 2019

Tous les jours à 14h30 et 19h30
samedi et dimanche à 10h30 et 16h30
Horaires spécifiques : Mer. 06/11 à 10h et 19h30,
Jeu. 07/11 et ven. 08/11 à 10h30 et 14h30
Relâche le lundi

AVEC Louison Alix, Hugo Boulanger, Lauriane Mitchell, Hélène N’Suka,
Rémy Salvador,
MISE EN SCÈNE Louison Alix et Lauriane Mitchell
COSTUMES Estelle Boul
SON Colombine Jacquemont

Après un événement traumatique, le petit Henri est mystérieusement marqué à la poitrine par une tache bleue indélébile. Depuis, il est
« puni-cagibi », enfermé à double tour par sa mère, contraint de frotter cette tache, la faire disparaître et gagner son pardon.

À l’école on l’appelle « la tache ». À la maison, Maman décide de tout. Au bout du compte, Henri ramasse. Il y a juste… cette tache. Qui le hante, qui l’intrigue, qui grandit sur son torse. Et qui le contamine peu à peu. Jusqu’au jour où c’est la goutte de trop, et le vase déborde.

À partir de la marginalité et de l’isolement du personnage de Perrault, Barbe Bleue ou le quotidien d’un monstre élabore une réflexion sur la monstruosité au quotidien, et interroge nos réactions face à la différence. Dans un univers visuel singulier créé grâce à la technique de rétroprojection, le spectateur est invité à plonger dans une rêverie, à la fois sombre et poétique, qui naît de la coexistence au plateau d’images projetées, de bruitages, de musique et du jeu des comédiens. Renouant avec l’onirisme du conte tout en interrogeant son actualité, le spectacle joue avec plusieurs niveaux de lectures possibles afin de rassembler un public autour du plaisir d’écouter une histoire.

À partir de 8 ans - DUREE : 1H - teaser du spectacle

Par contact @ cietramaluna.com (espaces=nospam) [Lyon]


L'ENVOL du MATIN

"si tant est qu’un lieu soit – celui du mouvoir –
excédent de / place en place
où à l’évidence perte ou désir en déplacement"


Alain Cressan, Á FIN DE (peser le mouvement)



© Michael Heizer

ENVOL du MATIN
Éveil corporel dansé en Plein Air


"Aviver les sens, en pointillés, en chœur, en douce"
Moduler son corps et écouter ses sensations, s’enraciner autant
que s’élever dans le paysage sonore du jardin et de la ville.

Reprise Lundi 4 novembre de 8h30 à 9h15
Jusqu’aux vacances de Noël
Square Bernard Frangin
à côté de la Mairie de Lyon 4ème
122 Boulevard de la Croix-Rousse
69004 Lyon

Avec alternativement, Marcelo Sepulveda, chorégraphe, danseur,
nourri de pratiques comme le Hatha Yoga, le Taï Chi,
la danse-contact, l’improvisation et les danses traditionnelles du Chili.

Michèle Prélonge, danseuse et fouleuse d’un certain nombre de sols,
planchers, et parquets sur lesquels il lui est arrivé de danser,
de parler, de chanter en chœur, de yogater, d’analyser,
de composer, d’improviser, d’impressionner la pellicule,
et même de voler en apesanteur...

Échauffement, assouplissement, conscience de la respiration, fluidité,
et présence à soi,
énergie, écoute et ressenti du corps,
éveil des perceptions sensorielles…
Séquences courtes, seul.e, à deux, à plusieurs, associant mouvements lents,
sens de l’équilibre, jeux du déséquilibre, ancrage et fantaisie.

Ouvert à toustes (filles, garçons, adultes, jeunes, moins jeunes,
sportifs, souples, paresseux, rouillés…)
Tenue de ville, ou confortable - Stilettos/mini-jupe déconseillés…

Renseignements : 09 72 22 22 69 ou 06 14 31 28 42
Participation solidaire + Adhésion à l'association : 8 € / an

facebook



# VIDEO DE LA SEMAINE
Par l'idiot du vill@ge



# NOTE DE BAS DE PAGE


Pendant que le thé infuse, on s'invente.
 

 

 

 

 

 

 

 



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